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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 21:57

En septembre 1983 le président Nimeiri annonça sa décision d'étendre le domaine du droit musulman, cantonné depuis la colonisation au droit personnel, au droit pénal[5].

Cette décision est l'élément déclencheur d'une guerre civile qui oppose le Gouvernement (GOS) à des groupes armés du Soudan du Sud. Ce conflit s'analyse le plus souvent comme une guerre de religion entre le Nord — islamique — et le Sud — chrétien. Si cette dimension religieuse existe certainement, comme en témoigne le déclenchement de la guerre civile consécutif à l'instauration de la charia par le gouvernement du Nord, il n'en demeure pas moins qu'elle est à tempérer, le Sud étant minoritairement chrétien et plutôt animiste. Ce sont donc plutôt deux cultures, une tribale traditionaliste au Sud et une arabo-musulmane au nord, qui s'opposent. On peut aussi y analyser une opposition entre le Centre et la périphérie, expliquant ainsi aussi les moteurs des conflits au Darfour, à l'ouest du pays, et dans le Béjaland, à l'est du pays.

Après une pénurie de pain et d'essence, une insurrection grandissante dans le Sud, une période de sécheresse et de famine, en 1985 un autre coup d'État mené par le général Souwar ad-Dahab restaura un gouvernement civil. Cependant la guerre civile faisait de plus en plus de morts et la situation économique continuait à se dégrader.

En 1989, à la suite d'un coup d'État, le général Omar al-Bashir devint chef de l'État, premier ministre et chef des forces armées. La loi pénale de 1991 institua des peines sévères dans tout le pays, telles que l'amputation et la lapidation. Bien que les États du Sud non musulmans soient officiellement exemptés de ces dispositions, la loi permet cependant une possible application future de la charia dans le Sud.

La guerre civile a déplacé plus de 4 millions d'habitants du Sud et fait 2 millions de morts. Certains ont fui dans des villes du Sud comme Djouba, d'autres ont cheminé vers le nord jusqu'à Khartoum ou ont pris le chemin de pays voisins comme l'Éthiopie, le Kenya, l'Ouganda ou l'Égypte. Ces gens ne pouvaient pas produire de la nourriture ou gagner de l'argent pour se nourrir, et la malnutrition et la famine se sont répandues. Le manque d'investissement dans le Sud a également abouti à ce que les organisations humanitaires internationales appellent une « génération perdue », mal éduquée, sans accès aux soins de base et sans grandes chances de trouver un emploi productif que ce soit dans le Sud ou dans le Nord.
Extrait de http://fr.wikipedia.org/wiki/Soudan

"Au Soudan, l’histoire se répète et se ressemble :
la tragédie des enfants perdus qui fuyaient la guerre civile pendant les années 90 est loin d’être terminée.

C’est ce que nous raconte le New-York Times dans un article du 30 juin 2012 :

« Des centaines d’enfants non accompagnés sont en train de quitter une région rebelle et isolée du Soudan, fuyant de récents assauts aériens et la menace de la famine.

Envoyés par leurs parents dans une terrible odyssée à travers des champs de bataille et des marécages infestés par le paludisme, les enfants répètent un des chapitres les plus sordides de l’histoire soudanaise :
la dangereuse fuite des prétendus "Lost boys" (garcons perdus) pendant la guerre civile des années 90, qui ont parcourus des centaines de kilometres en évitant les milices, les bombardiers et les lions. »"

http://www.infosud.org/Soudan-la-nouvelle-tragedie-des,10144

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 13:03
En Suède, sur 13 000 détenus, 5000 seulement purgent leur peine dans une prison.

En Suède, sur 13 000 détenus, 5000 seulement purgent leur peine dans une prison.  / United Nations Photo


                       
Mar, 12/11/2013 - 16:38

Par  

La Suède vide ses prisons. Depuis 2004 le nombre de prisonniers ne cesse de diminuer. Un résultat spectaculaire dû aux réformes pénales privilégiant les peines probatoires et la réinsertion des délinquants. 

Où sont passés les prisonniers suédois? Depuis 2004, leur nombre diminue de près d'1% tous les ans. Le record est atteint l'an dernier avec une chute de 6%. Un phénomène qui devrait se renouveler cette année et l'année prochaine. Face à cette situation le gouvernement a décidé de... fermer des prisons. Ainsi, les villes d'Aby, Haja, Batshagen et Kristiandstad verront leur établissement pénitencier mettre la clé sous la porte dans les prochains mois. Deux d'entre eux seront vendus. Les autres, vidés de leurs pensionnaires, resteront sous la tutelle de l’Etat.

Comment expliquer cette baisse inédite? Pour Nils Öberg, les raisons sont peut-être à chercher du côté des réformes prises par la Suède sur le plan carcéral.

Nous espérons que les efforts que nous fournissons dans la réhabilitation des détenus et la prévention contre la récidive sont responsables de cette baisse, même si à mon sens, il doit également exister d'autres facteurs. Le pays doit encore faire davantage pour aider les détenus à se réinsérer dans la société." confie t-il au Guardian.

 

Ne pas punir bêtement

Les peines de probations sont légions en Suède pour les délits mineurs (détention de drogue, non-paiement de la pension alimentaire, conduite en état d'ivresse...). Le condamné purge sa peine en liberté, encadré par un tuteur de probation et participe à des travaux d'intérêts généraux et autres programmes d'aides (association contre l'alcoolisme, la toxicomanie...) afin de prouver qu'il peut et qu'il veut se réinsérer dans la société.

Un modèle dont tente de s'inspirer la France. Dans sa grande réforme de la justice, Christiane Taubira veut, elle aussi, promouvoir les solutions alternatives à la prison pour les infractions mineures. Une mesure bienvenue pour régler le problème de la surpopulation carcérale en France. L’Hexagone a encore battu son record en juillet dernier (68 569 détenus). Le taux d'occupation moyen d'une prison en France est de 120%. Résultat du tout carcéral pratiqué jusqu'à maintenant, ces chiffres impliquent la création de nouveaux établissements.

A l'inverse, en Suède, sur 13 000 détenus, 5000 seulement purgent leur peine dans une prison. Et là encore les bâtiments suédois se distinguent.

Prisons ouvertes

La moitié des prisons suédoises sont "des lieux à ciel ouvert". Le condamné est appelé "client". Dans cet établissement, pas de murs dehors, de miradors ou de barreaux aux fenêtres. Chaque prisonnier possède une cellule individuelle et les normes d'hygiènes sont respectées contrairement aux Beaumettes. Les "résidents" de ces prisons travaillent. Ils débutent leur journée à 8H pour la finir à 16H et sont rémunérés 40 euros la semaine. Depuis 1998, les détenus peuvent, s'ils ont fait les deux tiers de leur peine, demander à être remis en liberté conditionnelle. Un tuteur de probation reste présent pour les encadrer.

Traitement de luxe? Non, juste une certaine lucidité de la part des Suédois. En 2011 la Cour suprême du pays instaure des peines moins lourdes pour toutes les infractions liées à la drogue. La plupart des détenus de ces prisons ont des peines qui n'excèdent pas les cinq ans de prison. Le système profite également à l'économie du pays. Un condamné en liberté, mais encadré, coûte 13 fois moins cher à l’Etat qu'un détenu incarcéré.

Et n'en déplaise aux détracteurs, le pays n'a toujours pas sombré dans un chaos social où les criminels arpentent les rues, prompts à agresser les honnêtes citoyens. D'après les derniers chiffres d'Eurostat, la Suède demeure l'un des pays d'Europe où le taux de criminalité est le plus faible. On ne compte, par exemple, que 207 policiers pour 100 000 habitants là où l'Espagne en dénombre 506 et la petite île de Chypre... 672.

 

Le viol : un problème suédois ?

Le modèle suédois a néanmoins ses failles. Du moins en apparence. La Suède est le pays d'Europe où il y a le plus de viol. En 2007, près de 53 viols sont enregistrés pour 100 000 habitants selon Eurostat. En France, on n'en compte que 17,3. De là à conclure que la remise en liberté des criminels explique ce nombre important, il n'y a qu'un pas. Cependant, il faut prendre en compte des données spécifiques cet Etat.

La Suède a une définition bien plus large du viol que les autres pays européens. Ainsi, depuis 2005, il n'est pas nécessaire qu'il y ait eu violence ou menace de violence pour engager des poursuites. Dès que la victime se trouve dans un "état d'impuissance" (endormie ou ivre...) elle peut porter plainte. Des campagnes de sensibilisation se tiennent régulièrement pour inciter les femmes à s'exprimer sur le sujet.

On porte ainsi dix fois plus plainte pour viol en Suède qu'ailleurs en Europe. Les associations féministes sont formelles, rien ne permet de prouver qu'il existe un problème "particulièrement aigu" avec le viol en Suède (voir document ci-dessous). 

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 12:13

Non, non, et non !!!

 
Il est important de ne pas faire d'amalgame !

Quand des parents font le choix d'une éducation bienveillante et positive pour leurs enfants, ils sont loin, très loin, de baisser les bras, au contraire, je dirais même qu'ils retroussent leurs manches pour ce lancer sur un chemin des plus difficiles...

   Je me rends compte, au fils de discussions avec mes proches, que beaucoup font un amalgame entre la bienveillance et le laxisme.

Ils sont encore trop nombreux à croire que pour être bien élevé il faut de la fessée, de l'autorité, de la menace et de la sanction.

Ils sont encore trop nombreux à penser que le parent qui fait le choix d'une éducation non violente ne fera de sa progéniture qu'une vulgaire racaille, qui crachera sur les flics et finira en prison, à la charge du contribuable.

Ils sont tellement nombreux à croire que la violence amène le respect...

Quand on prend le chemin d'une éducation bienveillante et non violente, on le fait d'une manière réfléchit. On a étudié la question, on l'a buchée comme on bucherait pour le bac, on a emmagasiné une quantité de livre sur le sujet... Bref, la bienveillance ça s'apprend, comme être parent !

 

Parce que ce n'est pas inné d'être parent !

 
C'est tellement difficile de donner le meilleur à son enfant tout en voulant correspondre à cette image que la société veut que nous renvoyions. C'est beaucoup trop difficile d'être un parent parfait...

 C'est même impossible, non ?

Je me suis rendu compte qu'il y avait plusieurs écoles mais qu'au départ nous sommes tous sur la même ligne.

On se retrouve, un jour, comme ça, avec le plus beau des bébés dans les bras et... démerde-toi !

On lui donnerait tout à ce bébé, mais il y a "on" et ses phrases toutes faites qui lui ont fait oublier que lui aussi, un jour, il s'est retrouvé à ta place, pommé entre les conseils d'un pédiatre, d'une grande tante et d'une belle-mère. Pourtant ce bébé tout neuf, on serait prêt à lui donner notre vie... Puis il grandit et les "bons" conseils des gens normaux fusent... De partout, tous différents, tous accusateurs, tous déstabilisants !

Et te voilà, jeune parent avec un gosse qui pleure à t'en arracher les tripes.

Et là, tu fais quoi ?

Ben soit tu écoutes les conseils des anciens normaux... soit tu écoutes ton coeur.

Il me semble que les parents choisissant la bienveillance se mettent à écouter leur coeur comme ils ne l'ont jamais fait auparavant. Ils apprennent d'abord à se faire confiance à eux et à leur enfant, ils apprennent à écouter ce bébé qui braille, ils apprennent à l'apaiser par de simples choses et surtout, ils acceptent de faire une petite balade dans le passé qui bien souvent les emmène vers LA remise en question de leur vie.

Enfin, il me semble...

C'est tout un cheminement qui ne se fait pas en un jour.

C'est une bataille de tous les jours avec soi-même.

C'est des victoires mais aussi beaucoup de défaites.


Choisir la bienveillance et l'éducation non violente, ce n'est pas parler sans fin à un enfant qui, les talons tournés, court faire ce qu'il ne faut pas.

 

Choisir la bienveillance et l'ENV, c'est comprendre que Rome ne s'est pas fait en un jour...

Choisir la bienveillance et l'ENV, c'est se mettre à leur place un peu plus souvent qu'à l'accoutumé...

Choisir la bienveillance et l'ENV, ce n'est pas s'oublier pour l'enfant, c'est vivre ensemble en prenant compte des besoins de chacun : père, mère et enfants...

Choisir la bienveillance et l'ENV, c'est accepter tout simplement de n'être que le fruit d'une société basé sur le patriarcat comme tous les autres parents et vouloir changer ça pour son enfant...

Choisir la bienveillance et l'ENV, c'est préférer baser cette éducation sur la confiance et la considération de chacun plutôt que de la baser sur la peur et l'autorité.

Bien souvent "on" me rétorque que ce n'est pas les arranger de ne pas vouloir les élever sur le schéma classique de l'éducation patriarcale que la tradition voudrait. Je ne suis pas d'accord. Je préfère apprendre à mes enfants à être au-dessus de ce système où chacun fait en fonction de la sanction qui tombera derrière.

 Je préfère qu'ils apprennent à agir selon leur réflexion et non pas par peur d'une amende.

J'aime utiliser l'exemple de la conduite et des limitations de vitesse. 

Sur les routes pratiquement personne de conduit aux vitesses préconisées, ou plutôt autorisées, sauf quand un radar de contrôle de vitesse est placé sur le bord de la route. Là, l'automobiliste réglera sa vitesse sur la limitation autorisée par crainte d'une amendeCertes ce contexte permet une baisse de la mortalité due à la vitesse, mais cette solution du respect par la peur ne fait pas plus prendre conscience de la dangerosité de rouler à 110 km/h au lieu de 90. 

Et cet exemple n'est que le résultat d'un système imposant une éducation basée sur l'application de l'autorité par la peur, où dès que l'autorité redoutée tourne le dos, le dominé dépasse la limite imposant une sanction. 

 

Voilà, ce que je ne veux pas enseigner à mes enfants.

 

Je préfère qu'ils aient conscience dès le plus jeune âge qu'on respecte les gens, les choses et certaines règles afin de permettre une vie en harmonie pour tous au sein d'une communauté. C'est peut-être utopique comme projet éducatif, mais j'aime à croire que si chacun mettait un peu plus de bienveillance et moins de crainte dans l'éducation qu'il donne à ses enfants, qu'alors peut être, notre société pourrait entreprendre un changement qui ne lui ferait pas de mal.

Alors oui, nous avons choisi d'élever nos enfants dans la bienveillance et sans violence physique ou psychologique mais ce n'est pas pour autant que nous abandonnons notre taf de parents, nous avons juste une vision différente de la façon dont nous allons aider nos enfants à prendre leur envol pour qu'un jour ils puissent quitter le nid en étant des adultes forts, confiants, respectueux et sereins qui n'agiront pas par mimétisme mais par acquit de conscience.

 

http://www.graine-de-caillou.com/article-bienveillance-ne-veut-pas-dire-laxisme-121087854.html

Publié le 13 novembre 2013 par Itmapie

 

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 20:58




trouvée sur FB sur

 

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 12:56

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 13:36
Raoni Metuktire
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
   

Raoni Metuktire

Le chef kayapo Raoni
Naissance vers 1930
village de Kapot, Mato Grosso Mato Grosso, Drapeau du Brésil Brésil
Nationalité Brésilienne
Profession Chef Amérindien

 

Raoni Metuktire, est l'un des grands chefs du peuple des Kayapos vivant au cœur d'une réserve protégée
sur le territoire du Brésil, et une figure internationale emblématique de la lutte pour la préservation
de la forêt amazonienne et de la culture indigène.

 

(...)

 

En Septembre 2011, le chef Raoni se rend au Conseil des droits de l'homme des Nations unies

et en Juin 2012, il participe à Rio+20.

En réponse à ceux qui le prétendent découragé, le chef Raoni, qui a récemment reçu le soutien de personnalités comme Cali, Bernard Lavilliers, Vincent Cassel, Jan Kounen, Hugues Aufray, Abd al Malik, Pierre Richard, Nicolas Hulot, Jacques Weber, Marion Cotillard, Rémi Gaillard[7], James Cameron, Sigourney Weaver et Arnold Schwarzenegger[8], a lancé une pétition internationale en 7 langues[9] contre le barrage de Belo Monte sur son site officiel.

Fin novembre 2012, le chef Raoni rencontre le Président de la République François Hollande [10] et le Président du Sénat Jean-Pierre Bel[11]. En décembre, il rencontre le Président de la Commission européenne José Manuel Barroso[12] et se rend au Parlement européen afin de demander l'aide de l'Union européenne pour la préservation de la forêt amazonienne[13].

Le 29 août 2013 est mis en ligne sur le site de Raoni la traduction intégrale d'un document présentant à Dilma Rousseff des revendications des peuples indigènes du Brésil, document qu'elle a signé, ainsi qu'un message vidéo dans lequel le cacique Raoni s'adresse à tous les dirigeants du monde pour qu'ils le soutiennent dans sa démarche et s'opposent au projet de barrage de Belo Monte dans le but de préserver la forêt amazonienne.[14]

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 13:17

C'est la fondation "d'Aide aux enfants et aux adolescents à risque" (ANAR) qui a eu cette idée pour le moins inédite.

En prenant compte de la taille moyenne d'un enfant et de celle d'un adulte, l'affiche délivre ainsi deux messages.

Un destiné aux adultes et un aux enfants. Quand un adulte apercevra le message «Parfois, la maltraitance des enfants est seulement visible à l’enfant qui en souffre. »,
un enfant verra lui «Si quelqu’un te fait du mal, appelle-nous et nous t’aiderons » avec le numéro de téléphone de ANAR.

Ce procédé répond au nom de morphologie lenticulaire.

Affiche pour les enfants :


affiche-pour-un-enfant

Affiche pour les adultes :

affiche-que-seuls-les-enfants-peuvent-voir

Explication du procédé :

Angle-de-vue-de-ladulte-et-de-lenfant-1024x414

http://www.buzzly.fr/un-message-secret-que-seuls-les-enfants-peuvent-voir.html

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 13:11

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 22:43
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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 22:40
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En Quelques Mots ...

  • : Réflexion et recherche sur le cours de morale non confessionnelle de l'enseignement primaire
  • : A la recherche de pistes pour alimenter les pratiques du cours de morale non confessionnelle dans l'enseignement primaire...
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